Dans un contexte de violences policières, est-il légitime d’animaliser des ennemis politiques, même s’ils participent à une institution oppressive ? Les animalistes devraient-ils protester contre cette animalisation dans un contexte politique tendu ? Après avoir rappelé comment cette question a été transformée en une virulente controverse, ce texte propose d’en « sortir par le haut ».