Sur les caillebotis a poussé l’herbe verte, Qu’elle est douce à mes pieds meurtris ! Sur mes flancs ulcérés, au lieu du froid métal, Je sentais la brise de l’été. Dans un flot de lumière, de bonheur, j’ai pleuré ; J’en oubliais l’obscurité. Les oiseaux, de leurs chants, ont fait taire les cris.