Il est question de traiter un individu non pas en fonction de son statut mais en fonction de ses besoins, en reconnaissant ses spécificités. Il n’est question ni de nier les dissemblances existant entre différents individus appartenant à différentes espèces, ni de donner le droit de vote aux belettes, ni de proposer les mêmes aliments à un cheval et à un cochon, par exemple.