D’une part, cet argument constitue une généralisation abusive, puisque toutes les personnes antispécistes ne sont pas issues des mêmes milieux et ne vivent pas dans les mêmes conditions. D’autre part, cet argument n’est pas pertinent, car ce n’est pas la proximité avec “la nature” qui conditionne les considérations éthiques que nous sommes en mesure d’appliquer aux autres qui nous entourent.