Florence Burgat présente sa thèse selon laquelle le déni du meurtre animal ne peut plus expliquer la continuation de l’élevage, mais à un enjeu enjeu est métaphysique et identitaire de l’humanité. Elle explique ensuite pourquoi selon elle la solution n’est pas dans un simple « meilleur traitement », et répond aux objections sur la prédation et la sensibilité des plantes.