Ne parler que de la souffrance des animaux, et non de leurs joies et aspirations, risque de n’engendrer que des réformes contre les souffrances en élevage, sans remettre en question l’appropriation ni la tuerie des animaux. Mettre aussi l’accent sur les désirs et plaisirs permet de remettre plus profondément en cause l’exploitation et de promouvoir de leur liberté de choix.