Comment alors gérer les conflits d’intérêts, particulièrement lorsqu’ils opposent l’être humain à l’animal ? À mon sens, il est impossible de résoudre cette question sans faire appel à une certaine forme d’anthropocentrisme, ou plutôt à un principe de proximité morale qui accorde un poids moral aux êtres non-humains en fonction de leur proximité par rapport à l’humain.