Les 1 000 à 1 200 milliards d’insectes individuels élevés chaque année pour l’alimentation humaine et animale n’ont probablement pas de souffrance consciente, mais si c’était le cas leurs conditions d’élevage leur donneraient une bonne vie. Leur alimentation à partir de déchets agricole permet aussi de limiter le nombre de morts par récolte, avec au final un bilan similaire au véganisme.