Samir Mejri fut recruté comme animalier par un laboratoire pharmaceutique en 1988. Il démissionna quelques mois plus tard, profondément choqué par l’atrocité des expériences pratiquées sur les animaux et par l’indifférence, voire le sadisme, du personnel du laboratoire. Il a écrit Victimes silencieuses pour témoigner de ce qu’il avait vu.