Arrivée devant la brebis malade, tout à coup la vétérinaire a eu l’air gêné. Confrontée à un tricératops, elle aurait été plus à l’aise. Finalement, elle a confié à ma cousine qu’elle n’avait jamais soigné un mouton. Les vaches, oui, bien sûr. Les chevaux, par centaines. Mais les moutons… en Australie, il y en a trop.