Depuis longtemps j’ai souvent hasardé l’hypothèse selon laquelle parmi les gens relativement nombreux qui ne mangent pas de viande en invoquant la santé, l’écologie, etc., c’est-à-dire toutes les raisons autres que les animaux, il y en avaient beaucoup dont la vraie motivation, inavouée y compris à eux-mêmes, était le refus de participer au meurtre.