Il y a une symétrie entre le désir de certaines personnes de se cloner et les motivations qui portent les humanistes à pousser ces hauts cris : l’importance ontologique [3] accordée d’un côté comme de l’autre à nos gènes. « Un homme qui est la copie d’un homme n’est plus un homme », nous dit encore le Pr. J.-F. Mattei. Mais c’est quoi alors ? Une femme ? Non, « n’est plus un être humain », veut-il dire.