Les cirques s’inscrivent dans une tradition dont la sémioticienne Astrid Guillaume évoque l’historique, avant d’aborder l’analyse des affiches et la communication des cirques, des jouets pour enfant, des dessins animés, etc. présentant des animaux « heureux » malgré la réalité du cassage psychologique et des souffrances des animaux sauvages utilisés.