Mais les dispositions de cet article du Code pénal « ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu’une tradition ininterrompue peut être invoquée. » Ainsi, la loi autorise les corridas au nom des traditions dans le même mouvement où elle les désigne implicitement comme constituant, selon ses propres termes, des sévices graves et/ou des actes de cruauté commis sans nécessité.