Tout d’abord j’ai cessé d’être végétarienne. Vingt ans d’excès de glucides et de manque de protéines m’ont laissé de nombreuses séquelles. Aujourd’hui je remange de tout. J’aime toujours les animaux et j’essaie au maximum d’acheter de la nourriture éthique et bio. Témoignage d’une ancienne végétarienne.
Qu’elles soient issues d’élevages intensifs en cage, d’élevages au sol, d’élevages en plein air ou bio, les poules pondeuses finissent leurs jours à l’abattoir. Descriptif et vidéo.
S’ajoutant aux nombreuses morts humaines, de nombreux animaux ont aussi été utilisés au cours de ce terrible conflit. On estime que des dizaines de millions d’animaux ont participé aux combats de la Première Guerre mondiale : 11 millions de chevaux, d’ânes et de mulets ont été utilisés. Contenu à vocation pédagogique.
poème sur l’exploitation animale.
J’avance les yeux vers le sol Ont-ils si peu d’humanité ? Pourquoi toute cette brutalité ? Je tremble dans ce sous-sol Le soleil inonde mon paradis…
Beaucoup d’histoires a raconter ! Mais ce ne sont pas des histoires gaies, faites pour nous valoriser nous, humains! Ce sont des histoires d’éléphants vendus pour la plupart d’entre eux à des cirques traditionnels utilisant les animaux sauvages à des fins lucratives. Mots-clés: éléphants, captivité, cirque, exploitation.
Du calcium sans produits laitiers ? Pas de panique, c’est possible, Vegan Pratique vous indique comment faire !
Militants, sportifs, jeunes parents, coordinateurs VegOresto, bénévoles ou salariés à L214 : ils ont accepté de partager leur parcours, tous aussi inspirants les uns que les autres ! Introductions et liens vers ces portraits.
Réfutation d’un argument fallacieux: inutile d’être végane parce que l’on ne peut pas être végane à 100 %.
Mots-clés: véganisme, contre-argument.
C’est avec l’avènement de l’élevage au néolithique que les humains ont commencé à consommer le lait des autres mammifères. La consommation de lait est un fait éminemment culturel. Ainsi de nombreux peuples ne consomment traditionnellement pas ou peu de lait et produits laitiers.
Sous-entendu : le fait (non prouvé) que les végétaux seraient dotés de sensibilité et / ou de conscience établirait qu’il est absurde de faire intervenir des considérations éthiques dans nos choix alimentaires. On prend rarement la mesure d’une telle assertion qui va à l’encontre de données fondamentales de la biologie moderne.
De fait, l’être humain est la seule espèce animale qui recourt au lait d’une autre espèce pour nourrir ses petits. C’est progressivement au cours du XIXe siècle que le lait des mères (ou des nourrices) a été remplacé par des préparations à base de lait de vache.
Sur l’article d’une nouvelle étude « choc » réalisée par des chercheurs de l’Université de Graz (en Autriche), qui, selon les rapports des journalistes, « balaierait » l’idée d’une bonne santé des végétariens.
Le foie gras n’est après tout qu’un produit de l’esclavagisme animal parmi tant d’autres. J’estime qu’il n’y a aucune distinction morale entre ce produit et d’autres et j’ai du mal à comprendre que des militants pour les droits des animaux souhaitent carrément la mort ou une longue agonie à ceux qui en consomment.
(Traduction de l’article de Dan Cudahy et d’Angel Flinn, « The importance of being vegan) Défense du véganisme à partir de la théorie des droits. Arguments de base.
Très bref historique depuis l’antiquité de la considération des animaux, et (faible) considération politique en France en 2018.
Si l’objectif est l’abolition de l’exploitation animale, deux facteurs clés semblent plus cruciaux que le nombre de victimes une année donnée : la prise en compte culturelle des intérêts des animaux et la facilité à se passer de l’exploitation animale. Les critères peuvent être la connaissance et l’acceptation de nos arguments par le grand public et la normalisation du véganisme.
Et si l’humanité, et sa capacité d’altruisme dépassant la barrière des espèces, était la meilleure chose qui soit arrivée sur Terre ? Un texte prospectif sur le bien que pourrait apporter l’humanité future en réduisant la souffrance dans le monde sauvage. Mots clés : RWAS, interventionnisme, humanisme
Tobias Leeneart souhaiterait que les animalistes encouragent la compassion dont font preuve les gens scandalisés par le Festival de la viande de chien de Yulin, plutôt que de dénoncer leur racisme ou leur hypocrisie.
À partir des années 1990, la défense des animaux est montée en puissance, aussi bien dans le monde intellectuel que dans les milieux associatifs. Renan Larue retrace 30 années d’animalisme en France.
Ces deux arguments sont tout aussi invalides l’un que l’autre : outre le fait qu’ils reposent sur des informations erronées, ils constituent aussi un raisonnement non valide appelé paralogisme naturaliste, qui consiste à confondre ce qui est et ce qui doit être (le même problème de raisonnement se pose donc si on prend en compte la disposition biologique d’Homo sapiens à être omnivore).
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